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SarKozY News - Revue de presse Anti-Sarko - D-DAY - 6 mai 2012 - Le débarquement de Sarkozy
18 septembre 2005

Nicolas Sarkozy vu de Hongrie

web25

"Courrier International" - Du 15 au 21 septembre

En couverture / France: Le match Villepin - Sarkozy

vu de Hongrie

Un populiste prêt à tout pour arriver

Extraits:

(...)

Compte tenu des rapports de forces actuels, le succès de Sarkozy à la présidence en 2007 semble quasi inéluctable. Une telle victoire devrait en principe faire palpiter le cœur de tout Hongrois, car, via son père, Sarkozy a des origines hongroises. Il est le cadet des trois fils de la famille Sárközy de Nagy-Bocsa, émigrée en France à l’issue de la Seconde Guerre mondiale. Certes, il ne s’est pas trop vanté de ses racines hongroises: il s’est contenté de faire remarquer que, tout ministre de l’Intérieur qu’il était, il était, aussi, fils d’immigrés. Il n’a pas non plus manifesté beaucoup d’intérêt pour la connaissance de la culture hongroise et ne parle pas du tout notre langue. Il n’a donc rien à voir avec les Hongrois. Mais c’est son choix, et on ne peut pas le lui reprocher. Son populisme et son impitoyable détermination sont en revanche inquiétants.

(...)

On parle souvent de Nicolas Sarkozy comme de l’un des hommes politiques majeurs de la future Europe. Mais, pour devenir vraiment un politique de grande envergure, il devra rompre avec son populisme. L’Histoire nous a appris combien il peut être dangereux de voir accéder quelqu’un à la tête d’un pays porté par sa popularité et par des discours incendiaires.

Tamás Rónay, Népszava, Budapest

Le site lire_la_suite63 http://www.courrierinternational.com/gabarits/default_online.asp?ord_id=38

L'article en hongrois  lire_la_suite63 http://www.nepszava.hu/default.asp?cCenter=article.asp&nID=753245

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Commentaires
S
Il y a deux aspets qui doivent etre thématisés quand à la question des origine du Président de la République:<br /> 1. Quand les médias francais parlent d'un pays de l'Europe Centrale jusqu'en 1989, ils ont tendence d'emprunter les pires stéréotypes. Soit la Pologne d'Henri III., soit de Napoléon, soit l'Hongrie des années 20 ou de l'après-guerre: les clichés sont les memes. Chaque de ces pays est présenté d'avoir "s'arreté au moyen-age". Avant de continuer ,une première differenciation est nécessaire. La Pologne-Lithuanie du XVIème siècle était sans doute differente de la France, mais culturellement et du point de vue de la richesse du pays, on parle de son "age d'or". <br /> 2. Avant de parler de l'Hongrie au 20ème siècle, il faut véritablement étudier son histoire. Le pays vivait, après l'achèvement de sa souveraineté en 1867 qui nous semble un miracle, après d'autres 200 ans de lutte, un déclin choquant en 1919: Le royaume était amputé de deux-tiers de ses territoires, par le traité de Trianon. La révolution, une épisode socialiste de Bela Kuhn et, en revanche, une répression sanglante par les troupes anti-révolutionaires de Horthy suivaient. Merci de mentionner l'auteur Sandor Marai! Il représentait le citoyen libéral, son oeuvre témoigne de l'impossibilité de garder une position indépendente en restant dans le pays, surtout après la conquète du pouvoir par les communistes, après 1945. L'émigration était peut-etre le seul chemin de rester indépendant, avec tous les inconvenients de l'exil. Quelques mois avant la chutte des régimes communistes, Marailes ne supportait plus.<br /> Les Hongrois, comment semble t'il, ont des énormes difficultés de retrouver une identité moderne au sein de l'Europe Unie. Les blessures du 20ème siècle ne sont pas encore guerries. Le choc de 1919 est resté jusqu'à aujourd'hui. La nation nous semble néaumoins d'etre noble et admirable. Peut-etre le regard de son héritage culturel énorme et l'admiration des ses voisins et partenaires européens leurs peuvent aider à se retrouver.
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E
Vous m'amusez quand je vois en en-tête de ce blog "Le pire risque, c'est celui de ne pas en prendre" Comme si cette adage était la pire des inepties.<br /> <br /> Mais voyez ci-dessous.<br /> <br /> 2002 Conférence à l'ULB (Université Libre de Bruxelles), invitée Christine Ockrent. (Père Roger Ockrent, élève et professeur à l'ULB, Socialiste Belge, Ambassadeur de Belgique auprès de l'OCDE. Une salle du Château de la Muette lui a même été dédiée)<br /> <br /> Marie-France Dupont : Pourquoi une conférence intitulée " L'éloge du risque " ?<br /> Christine Ockrent : La conférence que je donnerai lors de la Commencement Ceremony ne sera ni économique, ni académique ; ce sera une exhortation des jeunes à prendre des risques. Je suis préoccupée par l'évolution des sociétés qui refusent le risque alors que le risque, c'est la vie, c'est une façon de progresser. J'ai eu la chance, dans ma vie professionnelle, de vivre toutes sortes d'aventures : certaines réussies, d'autres ratées ; mais, au moins, j'ai pris des risques. <br /> <br /> Christine Ockrent, sortie Major de Sciences Po (Paris), la 1ère Présentatrice d'un Journal télévisé en France pour TF1. Brillante Journaliste et productrice et présentatrice de France-Europe-Express, unique émission du paysage audiovisuel français parlant de France et d'Europe et faisant intervenir des personnalités politiques, françaises et européennes, du monde professionnel, syndical et associatif.<br /> <br /> Quant aux origines et à l'histoire de Nicolas Sarkozy, vous feriez bien de mieux vous renseigner, avant de vous lancer dans des assertions qui me laissent pantoise, je vous recommanderais de mieux vous informer et surtout de reviser votre histoire du 20ième siècle. <br /> Connaissez vous le Régent Horthy et dans un autre ordre d'idée l'écrivain anti-fasciste Sandor Maraï. <br /> <br /> Quant on ne connaît pas on se tait.
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  • Un sympathisant de gauche présente une revue de presse centrée sur l'ex-président de la République et l'ex-ministre d'État, ministre de l’Intérieur et de l’Aménagement du territoire et « numéro deux du gouvernement ».
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